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Exclusif : le Jeu de l’Euro !

La zone euro
   

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Il y a sept coupures en euros : 5 €, 10 €, 20 €, 50 €, 100 €, 200 € et 500 €. Ces billets seront identiques dans tous les pays de la zone euro.

Les valeurs de 200 et 500 € ont été créés, car six pays de la zone euro émettent des coupures de valeur faciale élevée : par exemple, l’Allemagne met en circulation un billet de 1000 DEM, soit environ 500 €.

Un thème susceptible de valoriser l’héritage culturel européen a été retenu : les éléments architecturaux de diverses périodes de l’histoire. Les éléments symbolisent les liens entre les peuples (ponts) et l’ouverture qui caractérise la construction européenne (portes et fenêtres).

La gamme réunit les évolutions de la technique, de l’art et des moyens de communication en Europe au fil des siècles et symbolise la naissance de la nouvelle Europe unie.

Le Danemark, la Suède et le Royaume-Unis, membres de l’Union européenne, ne participent pas au programme de la monnaie unique.
Les billets en euros
    L’antiquité classique. Au recto, la façade se compose d’un élément architectural présent dans les amphithéâtres et les temples. Au verso, l’aqueduc à trois étages est semblable à ceux que construisaient les Romains pour alimenter leurs cités en eau.
L’époque romane. Au recto, le porche d’une église se compose d’une voûte subdivisée en arcs décalés. Le verso montre un pont de pierre aux arches semi-circulaires et aux piliers massifs déviant le courant vers les arches. Ces ponts étaient souvent construits par des ordres bâtisseurs religieux.
La période gothique. Le recto dépeint un vitrail typique, avec ses ogives et sa rosace. La croisée d’ogives allège les parties hautes, elle croise deux arcs portants. Le verso illustre un pont caractéristique, reposant sur des voûtes d’ogives, construites par l’intersection de deux arcs. Ces ponts pouvaient être fortifiés.
La renaissance. Le fronton du recto est inspiré par l’antiquité gréco-romaine. La fenêtre en arche repose sur un bossage en pointe de diamant. Elle est encadrée par deux colonnes surplombées de chapiteaux. Sur le verso figure un pont renaissance. Une voûte en berceau est au moins deux fois plus longue que large. Les piliers immergés ressortent entre les voûtes.
L’époque baroque. Le recto montre un porche encadré par deux colonnes. Le triglyphe soutient un fronton orné de volutes et d’urnes. Le verso illustre un pont du XVIIIe siècle. La portée des arches est maximale, les piles élancées sont émergées. Les “cornes de vaches” - partie biseautée proches des piles - augmentent le débit maximal et accroît la résistance du pont aux crûes.

La révolution industrielle. Le recto illustre l’emploi du fer et du verre sur une façade de serre botanique. L’esthétique résulte du rythme régulier des éléments standardisés de l’infrastructure. Le verso représente un viaduc métallique. La voûte est constituée d’une armature en forme de parabole. Ce viaduc d’un seul tenant prend toute la largeur de l’obstacle.

L’époque moderne. Ce billet évoque l’architecture issue du Bauhaus et un pont à haubans. Le recto montre une façade en verre, en béton et en acier. Le mur-rideau inventé par l’école du Bauhaus dissocie les fonctions d’infrastructure et de superstructure. Le verso illustre un pont à haubans, horizontal. Le tablier est suspendu aux deux piliers par des câbles d’aciers tendus.
 
    Le jeu de l’Euro
Passez votre curseur quelques secondes au dessus d’un des trois billets. Déplacez-le vers le bas. Un billet apparaît. Trois billets identiques et c’est gagné !

 
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